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tableau - "Les meules"

tableau Les meules Servaes Albert paysage  pastel papier 1ère moitié 20e siècle
Voir + d'oeuvres (1) A propos de l'Artiste :
Servaes Albert  
né en 1883 à Gand - mort en 1966 à Lucerne/Suisse
Dès l'âge de quinze ans, Servaes se consacre à la peinture en amateur. Il travaille à Laethem et à la côte. Il n'entreprend toutefois de véritables études artistiques qu'en 1901, lorsqu'il suit les cours du soir de l'académie de Gand, chez J. Delvin. C'est là qu'il fréquente G. van de Woestyne et F. van den Berghe. En 1904, ce dernier l'invite à partager son atelier de Laethem. La rencontre de G. Minne et de B. Destrée, le frère de l'écrivain et militant socialiste Jules Destrée, l'influence du cercle formé autour de K. et de G. van de Woestijne, ainsi que l'inspiration de la nature sur les bords de la Lys, influencent l'½uvre de Servaes dans le sens d'un approfondissement spirituel. Il se convertit au catholicisme. Après "La Dernière Cène" (1905, coll. priv.), "Au tombeau" (1908, Ostende, P.M.M.K.) et "Les paysans aux champs" (1909, Bruxelles, M.R.B.A.B.) illustrent l'évolution de Servaes vers un style sombre et expressionniste. D'autres toiles importantes leur succèdent : "Sursum Corda" en 1911 (Ostende, P.M.M.K.) et "Intinsus Cordæ" en 1917 (coll. priv.). Durant la Première Guerre mondiale, le peintre demeure fixé à Laethem et remporte un succès grandissant après d'importantes expositions à Gand (Univ., 1913) et à Bruxelles (gal. Giroux, 1914; porte de Namur, 1917). En 1919, Servaes provoque le scandale, et accède donc à la célébrité, grâce à son "Chemin de croix de Luithagen" (quatorze dessins au fusain, Tilburg, abb. de Koningshoeven), violemment expressionniste, qui suscite aussitôt de vives réactions. A partir de 1921, ces polémiques valurent à toutes les ½uvres de Servaes d'être bannies pour longtemps des églises et des couvents de Belgique et des Pays-Bas. En 1920, le cycle de toiles consacré à "La vie paysanne" (1916-1920, Anvers, K.M.S.K.) n'en fut pas moins couronné à la biennale de Venise. Au même moment, l'artiste obtenait à la fois l'appui du socialiste Jules Destrée et du philosophe catholique français, Jacques Maritain. Ces succès l'encouragèrent à entreprendre, à partir de 1922, l'exécution d'un nouveau cycle, "La vie de la Vierge à Laethem" (seize scènes), exposé pour la première fois à Gand en 1933, et d'un certain nombre de pièces religieuses isolées, sans rapport avec un cycle particulier (entre autres, des" Chemins de croix"). Consacré par le grand prix de la Peinture belge en 1940 et par une importante exposition à Gand en 1943, Servaes est obligé, pour des raisons politiques, de quitter Laethem pour Munster et Hildesheim en septembre 1944; en mars 1945, il est interné à Bühler en Suisse. Déchu de la nationalité belge en 1947, naturalisé suisse en 1961, il reçoit en 1965 le prix Rembrandt à Salzbourg. Durant sa période suisse (1946-1966), Servaes reste particulièrement productif : son fanatisme pictural se perpétue dans les portraits, les paysages, les cycles de la "Vie de la Vierge" et les diverses versions d'un "Retable suisse de la Vierge", sans que se retrouvent toutefois la grandeur expressive et la profondeur mystique de ses ½uvres antérieures.
Type : tableau
Technique : pastel
Support : papier
Sujet : paysage
Cadre : oui
Dimension : 29cm x 48cm (HxL)
Signature : oui
Contre-signature : non
Monogrammé : non
Epoque : 1ère moitié 20e siècle
Prix de vente : 620 Eur.
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